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Critique Devs Épisodes One & Ii : Techno-Thriller Envoûtant Et Fascinant

Critique Devs Épisodes One & Ii : Techno-Thriller Envoûtant Et Fascinant
Critique Devs Épisodes One & Ii : Techno-Thriller Envoûtant Et Fascinant

Alex Garland est un auteur singulier. Après avoir pondu les scénarios de La Plage ou encore Sunshine pour Danny Boyle, ce dernier a décidé de passer derrière la caméra. Geste bienvenu qui mind aura amené les étonnants Ex Machina et Annihilation. Aujourd’hui, Garland nous livre une mini-série pour FX, et le moins qu’on puisse dire est que Devs start de manière totalement saisissante !





C’est donc avec une hâte not dissimulée que nous attendions Devs….et inutile de dire que malgré un terrain à priori connu, Garland brain surprend encore ! Quelque role entre Ex Machina, Utopia, Black Mirror et un soupçon de Kubrick, cette intrigue de techno-thriller à la portée vertigineuse et mystérieuse accroche d’entrée de jeu. Nous découvrons une Sonoya Mizuno qui peut enfin montrer fifty’étendue de boy acting (chose déjà entrevue dans Maniac), qui campe une employée d’une boîte de la Silicon Valley appelée Amaya. Tout se passe pour le mieux, jusqu’au jour où boy petit ami (interprété par Karl Glusman, vu dans Love ou The Neon Demon) est retrouvé décédé dans des conditions sordides.





En effet, ce dernier a pu rejoindre fifty’équipe de « Devs », une beginning-upward de développeurs très sélect opérant dans un complexe hugger-mugger…dans un simply non moins hugger-mugger qui remettra en movement tout ce en quoi il croit ! Excitant n’est-ce pas ? Tout cela survient dans les 30 premières minutes du tout premier épisode, et Garland livre admirablement les prémices d’un bon mindfuck des familles ! Sans spoiler, le tempo mind abreuve d’indices et de réponses au compte-gouttes, et la révélation du 2d épisode augure des choses excitantes et terriblement provocantes pour les épisodes à venir !





Devs 1.01-1.02
©FX on Hulu




Tout comme le clonage dans Never Let Me Go, ou bien 50’Intelligence Artificielle dans Ex Machina, Garland aborde Devs via un postulat précis : le déterminisme. Et si le libre-arbitre n’existait pas ? Si notre beingness était régie de manière binaire, en réaction ou non à divers évènements ? Et si ce pattern entre crusade et effet était codé via des 0 et des ane, permettant de deviner le futur….ou le passé à l’échelle de l’humanité ?





Via l’employment de la physique quantique au sein d’une intrigue à suspense, Devs questionne d’entrée de jeu le rapport entre la foi et la technologie. Nous ne sommes pas loin des promesses initiales de Matrix finalement, où corporations, status humaine et théories du complot s’entremêlent. Des thématiques existentialistes qui sont cohérentes avec la filmographie du réalisateur donc.





Big data pour de belles courbes





Si le fond est audacieux, la forme n’a pas été négligée ! La mise en scène est extrêmement travaillée, composant des cadres précis alliés à une photographie qui privilégie les sources lumineuses intra-diégétiques pour installer boy ambiance. Alex Garland retrouve ses collaborateurs fétiches, comme Rob Hardy (Mission Impossible Fallout) à la photograph et Mark Digby (Fahrenheit 451), apportant une direction artistique souvent oppressante et anxiogène. Un pur bonheur flirtant avec l’anticipation dans les choix architecturaux de certains lieux, comme le complexe Devs lorgnant vers le Cube de Vincenzo Natali, ou bien les locaux d’Amaya avec sa statue géante de petite miss.





Rayon son, mind sommes également gâtés : la BO de Barrow et Salisbury (déjà compositeurs pour Ex Machina et Annihilation) est sensationnelle, et les sons de new moving ridge du groupe The Insects en sont la scarlet sur le gâteau ! Rien que fifty’intro met immédiatement dans le bain : le spectre de Stalker voire 2001, n’est pas loin, agrémenté de chants grégoriens à fifty’aura mystique prononcée !





Devs 1.01-1.02
©FX on Hulu




Si Mizuno est mise à fifty’honneur, le reste du casting est splendid, Nick Offerman en tête ! Campant Foster, le PDG d’Amaya, fifty’acteur est ici totalement à contre-emploi (Parks & Recreation semble déjà loin). Personnage énigmatique et fascinant, ayant perdu sa girl il y a plusieurs années pour une raison inconnue, ce qui second’apparente être le « vilain » de la série promet déjà d’être le heart de tous les questionnements moraux de fifty’intrigue.





C’est encore trop peu pour savoir ce que Cailee Spaeny (Sale Temps à 50’Hôtel El Royale), Stephen Henderson (Fences) ou bien Alisson Pill (The Newsroom) mind réservent, mais ce qui est sûr c’est que les vi prochaines semaines risquent d’être géniales ! Vous fifty’aurez compris, Devs start sur les chapeaux de roue, cela faisait longtemps qu’une introduction de mini-série n’avait pas été aussi fascinante et originale. Est-ce que le voyage sera à la hauteur ? Rendez-vous dans one mois.





Devs est à retrouver dès le six mars sur Canal+








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